VENISE IMAGINAIRE
Cette collection réunit mes travaux photographiques en noir et blanc, réalisés dans une démarche minimaliste et contemplative.
Chaque série explore la beauté fragile des espaces urbains et le langage du silence.


Tirage en édition limitée à 20 exemplaires, signé et numéroté à la main
Format conseillé : 50 × 70 cm, ou autre format sur demande
Papier : Hahnemühle Photo Rag 308 g/m², finition mate
Signature : manuelle, accompagnée d’un certificat d’authenticité


Les poteaux veillent
Les pieux attendent. Ils ont tout le temps du monde.


Santa Maria distort

 Sous la coupole déformée,
le temps glisse comme une eau trouble.
La Salute vacille,
non dans sa pierre,
mais dans l’œil de la machine. Ce n’est plus l’instant que le capteur enregistre,
mais l’oubli qui s’impose.
Un souffle, une faille,
et Venise devient mirage.

Pont sans destination

Ce pont ne mène nulle part, mais il est beau d’y croire...

San Giorgio au matin

La brume s'efface, le marbre reste .
Un dôme isolé dans l'épure du ciel.


L’eau et le ciel ne font plus qu’un

Le détail sculpté, presque avalé par le mur.


La Basilique Disparue

Une vision fracturée d’une coupole vénitienne, aperçue à travers l’optique blessée d’un Nikon D3100. L’église émerge d’une mer de lumière et de parasites, sa moitié inférieure effacée comme un rêve qui s’efface. L’image semble incomplète, et pourtant puissante — un monument à moitié souvenu, à moitié perdu. Cette imperfection devient une forme de poésie visuelle, où l’absence parle plus fort que la présence, et où l’architecture sacrée se dissout dans l’abstraction

Une image inachevée

Les façades vides racontent mieux les prières que les prières elles-mêmes

Submergée dans le silence

Pieux de bois, réverbères et silhouettes lointaines se dissolvent dans un brouillard horizontal de distorsion. L’eau se confond presque avec le ciel, comme si Venise disparaissait dans une nappe de parasites. Ce paysage maritime fragmenté, filtré par l’œil blessé du Nikon D3100, évoque un rythme fantomatique.

Les veilleurs de brumes

Des lampadaires solitaires dans la brumes face à la lagune 

Mémoire rayée du Grand Canal

La scène est connue — le Grand Canal, ses palais, ses reflets — mais ici, elle vacille. Comme si l’image elle-même luttait contre l’oubli, raturée par des strates de lumière, de silence et d’erreurs mécaniques. Le grain s’accumule, les lignes se dédoublent, la réalité devient écho. Ce défaut n’est pas une faille : c’est une trace, une mémoire abîmée mais sincère. Venise n’est plus un lieu, mais une impression persistante — fragile, presque effacée

Mémoire ondoyante

Cette vision spectrale du Grand Canal évoque les fantômes de Venise — ceux qui restent dans l’eau et la pierre, à la frontière de l’oubli.
Les façades vénitiennes se reflètent dans un fleuve de lumière trouble, comme si le temps lui-même hésitait à fixer l’instant.


Les guetteurs du silence

Ils sont là, immobiles, à l’ombre des lampadaires penchés et des pieux rongés par le sel. Figures anonymes face à la lagune, ils regardent, ou peut-être attendent — un départ, un souvenir, un instant qui ne reviendra pas.
Le grain de l’image, presque palpable, trace comme une empreinte du temps sur la surface de la scène.
Le vent semble figé, la lumière suspendue.

Merci de prendre le temps de vous arrêter sur ces images.
Que ce silence visuel ouvre une porte vers votre propre regard.

Toutes les photographies proposées à la vente sur photoretro.ch sont tirées en édition strictement limitée.
Chaque exemplaire est signé, numéroté, et livré avec un certificat d’authenticité garantissant :
Un usage unique réservé à l’acheteur
Aucune reproduction ou réédition future, ni sous forme imprimée ni numérique
Une œuvre exclusive, conçue pour les collectionneurs et amateurs d’art
En achetant une photo, vous devenez le seul détenteur autorisé de cette version, dans le respect de l’intégrité artistique de l’auteur.





Recherche