Six-20 capture la ville comme on écoute un souffle. Là où le monde s’agite, il choisit le silence ; là où la couleur éclate, il opte pour le noir et blanc. La lumière devient matière, les lignes deviennent musique. Chaque façade, chaque pont, chaque silhouette isolée se transforme en une composition graphique, suspendue hors du temps. Ses images ne se contentent pas de montrer des lieux : elles les transforment en respirations visuelles, en pauses méditatives où l’urbain devient poésie. Dans son regard, le superflu disparaît, et ce qui persiste – le vide, la lumière, la forme – s’offre au spectateur comme un souffle tranquille au milieu du chaos. Ses photographies flottent entre le réel et le rêve, et invitent à voir la ville autrement : non comme un espace à traverser, mais comme un poème à contempler.
Photographie poétique de Six-20
La silhouette de la Statue de la Liberté se détache.   •   Dans cette composition minimaliste, la statue émerge comme un phare solitaire.   •   La Statue de la Liberté devient ici un jeu de formes et de lumière.   •  
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Six-20 — Là où la ville se tait, l’image parle.


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