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Chaque photographie est réduite à l’essentiel : une silhouette, un monument, une ligne d’ombre ou de lumière. La force vient de ce dépouillement, qui laisse place à l’imagination et à la poésie — là où le silence devient regard, et la lumière, mémoire.

Venise en noir et blanc
Venise intemporelle
Une ville suspendue entre brume et reflet, où chaque pierre semble écouter la lumière. Série emblématique signée Six-20.
New York monochrome
Solitudes urbaines
Manhattan dans son silence : un hommage aux ombres et aux formes. L’écho discret d’une humanité en mouvement.
Statue de la Liberté
She Liberty
Solennelle et libre, face au vent et au large. Symbole d’espoir, de silence et de lumière — un hommage à la force tranquille de New York.

Les Dômes du Silence

Premier Prix – Vision intemporelle
Concours International Monochrome de Florence 2025


Les Dômes du Silence



Ah, cette photo… Quelle épopée ! Elle n’a pas simplement été prise ; elle a conquis, comme un invité inattendu acclamé à son arrivée.

Tout commença lorsqu’un photographe passionné — disons un certain Six‑20, pour les initiés (et les curieux) — décida d’envoyer cette image au Concours International du Noir & Blanc de Florence 2025. Un rendez‑vous prestigieux où seuls les clichés capables de faire taire une salle entière ont une chance de briller.

La photo, intitulée Les Dômes du Silence, reçut d’abord un accueil poli, presque sceptique. « Encore une basilique… » marmonna un juré. Mais lorsque la lumière révéla ses dégradés subtils, ses lignes presque spectrales et cette étrange impression d’émerger hors du temps… le silence tomba. Un silence digne d’un film muet.

Un juré nota, presque en chuchotant : « Ce n’est pas une photographie. C’est une respiration figée. »

Quelques semaines plus tard, la nouvelle tomba : Les Dômes du Silence remportait le Premier Prix dans la catégorie Vision intemporelle du Concours international monochrome de Florence 2025.

Même la critique italienne — d’ordinaire d’un scepticisme légendaire — confia : « Venise n’a jamais paru si légère, presque prête à s’effacer… comme un souvenir obstiné à rester. »

Depuis, Les Dômes du Silence voyage. Elle a fait escale à Lucerne, Paris, New York et même brièvement à Tokyo, où un visiteur, les yeux humides, murmura :
« On dirait que Venise rêve d’elle‑même. »

Et qui sait ? Peut‑être que quelque part, Six‑20 sourit en pensant :mission accomplie.

L’Esprit du dôme céleste

Ah, cette image… on croirait un mirage qui a oublié de disparaître.
Elle n’a pas été simplement capturée — elle s’est imposée, doucement, comme une évidence que l’on ne discute pas. Tout a commencé à Venise, bien sûr. Une lumière trop franche, une architecture trop parfaite, et ce moment où le photographe — disons un certain Six-20 — choisit de laisser parler le hasard. Résultat : un clocher penché, une coupole qui flotte, et ce vide blanc qui avale la scène comme un rêve mal réveillé. Présentée un soir dans un salon où l’on parlait de “formes pures et réminiscences du silence”, la photo provoqua d’abord quelques sourcils levés. Puis, un critique souffla.
Ce n’est plus une image. C’est une disparition réussie. 
Depuis, L’Esprit du dôme célestea trouvé sa place parmi les pièces les plus énigmatiques de la série Venise intemporelle — un hommage à l’art minimal, où le visible se retire pour laisser place à l’émotion nue.
Un visiteur a résumé mieux que quiconque :
On dirait que Venise s’efface pour mieux se souvenir d’elle-même.
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